Dans les heures perdues

Dans les heures perdues, au milieu de la nuit ou les souffles endormis vont et viennent, éveillés, témoins de l’accalmie, il se trame des rêves enfoui.
Rien à faire que dormir…. RRRRRZZZZZ

Instant suspendu, tournoiement de particules en suspension, photographie de l’instant. Plus rien ne bouge et pourtant on entend la vie quotidienne.

Le temps passe sans que je bouge. Le corps change au rythme des aiguilles, il se dégrade. Les esprits se succèdent, évoluent lentement. Changement de forme.

Les yeux se ferment, paupières alourdies par la nuit, fera t-il jour demain que je puisse me réveiller?


Commentaires

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *